À l’heure où 2025 s’éteint, une réalité s’impose :
le thermalisme se trouve à la croisée des chemins.
Entre la montĂ©e des besoins en prĂ©vention des populations de patients notamment chroniques , le besoin de prĂ©venir le vieillissement pathologique couteux et chronophage pour les soignants ,l ‘explosion des pathologies dans le champ de la psychiatrie et la santĂ© mentale , l’exigence croissante de qualitĂ©, l’évolution des attentes des curistes … et dĂ©sormais la menace du dĂ©remboursement des cures thermales, ce secteur ne peut plus avancer comme hier.
Ce possible recul du soutien public n’est pas seulement un risque :
➡️ c’est un électrochoc.
Un appel à renforcer nos preuves, à moderniser nos pratiques, à affirmer la valeur médicale, sociale et territoriale du thermalisme.
Plus que jamais, la filière doit montrer ce qu’elle apporte réellement à la santé globale des Français.
Dans ce contexte décisif, l’IET jouera en 2026 si on lui en laisse la possibilité , un rôle essentiel pour :
✨ accompagner les établissements et les professionnels,
✨ élever les standards de formation,
✨ structurer et renforcer la reconnaissance de la filière,
✨ contribuer activement aux réflexions nationales sur l’avenir du thermalisme…
et défendre, preuves à l’appui, la place indispensable que doivent garder les cures dans le parcours de santé.
À toutes celles et ceux qui s’engagent chaque jour pour faire avancer cette filière précieuse à nos étudiants et nos enseignants : Merci.
🎆 Très belles fêtes de fin d’année à toutes et à tous.
Et surtout…
Cap sur 2026 : une année d’engagement, de mobilisation et d’ambition pour l’avenir du thermalisme et pour l’IET qui sommeille …

